Des lycéens passent leur bac dans un lycée de Strasbourg (AFP) |
Ils auront désormais le choix entre leurs calculatrices de collège ou des modèles plus perfectionnés intégrant une fonction «examen» interdisant tout abus. «Ils», ce sont les futurs lycéens qui feront leur rentrée en seconde en septembre prochain, et qui étrenneront, donc, au cours de l'édition 2018 du baccalauréat cette nouvelle décision de l'Education Nationale: bannir des tables d'examen les calculatrices programmables.
Une entente avec les fabricants pour doper les ventes?
Ces monstres de mémoire ont, il est vrai, conquis nombre de tricheurs au fil des ans, des fraudeurs en herbe qui choisissaient de confier au disque dur de leur «calulatoche» les contenus de leur cours, plutôt que de se risquer à les apprendre...
L'annonce tombée, les premières craintes se font entendre, relève Rue 89 : y a-t-il eu entente avec les fabricants pour doper les ventes de leurs nouveaux modèles incluant cette fameuse fonction «examen», n'y a-t-il pas un risque de défavoriser les élèves n'ayant pas les moyens de s'offrir ces modèles dernière génération ? «La mise en application à compter de la session 2018 permet de limiter l'investissement des familles», aurait répondu à cela le ministère, toujours cité par Rue 89 et qui balaye du revers de la main l'idée d'un accord avec les fabricants.
Ma source: 20 minutes.fr
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