Bienvenus à cette nouvelle expérience!!!!!

Bonjour à tous et à toutes et bienvenus sur le blog du Département de français. C'est en septembre 2011 que l'on commence à démarrer et c'est avec un mélange d'appréhension et d'excitation qu'on s'y met.

Ce mode d'expression est en vogue sur internet, donc, nous allons en profiter.

Il n'y a pas que nous, Beatriz et Conchita qui allons écrire; à votre tour vous allez pouvoir y participer. Rassurez-vous!!!! On corrigera avant!!!!

Vous allez découvrir sur ce blog toute l'actualité, des conseils, des aides précieuses, etc.

Nous, on le crée mais il faut l'animer. On compte sur vous!!!!

viernes, 29 de noviembre de 2019

LE RESPECT


 
 

BON VENDREDI






LA DERNIÈRE FEUILLE




Dans la forêt chauve et rouillée
Il ne reste plus au rameau
Qu'une pauvre feuille oubliée,
Rien qu'une feuille et qu'un oiseau.

Il ne reste plus dans mon âme
Qu'un seul amour pour y chanter,
Mais le vent d'automne qui brame
Ne permet pas de l'écouter.

L'oiseau s'en va, la feuille tombe,
L'amour s'éteint, car c'est l'hiver.
Petit oiseau, viens sur ma tombe
Chanter, quand l'arbre sera vert !
 
Théophile Gautier (1811-1872)
Recueil: La Comédie de la mort (1838) 
 
 
 
 

miércoles, 27 de noviembre de 2019

MERCREDI BLANC



Mercredi blanc est un conte d'aujourd'hui, dans un monde ordinaire, gris, voire désenchanté. L'idée, c'est que Lucie, princesse adolescente, horrifiée par l'ogre du 11e étage de la tour où elle habite soit sauvée par le chevalier, son ami du 10e, Léon, 14 ans lui aussi, maladroit, secret, mais tendre.
Dès les premières lignes je sais que je vais m'attacher à cette jeune fille, Lucie, 14 ans, l'héroïne.





Dans une cité de banlieue, Lucie, seule fille d'une fratrie de cinq enfants, doit compenser l'absence de ses parents. Sa grande passion : grimper, souvent et partout... Elle vit intérieurement l'univers de l'alpinisme. Son monde semble s'ouvrir, mais c'est le mercredi blanc. Des sommets de béton aux cimes enneigées, la jeune fille nous fait vivre une aventure emplie d'humanité et de dépassement.
 
 

 
Dominique Lin est né à Paris en 1956. Depuis longtemps, il écrit pour les autres et nous berce, sans que nous le sachions, de ses textes souvent imagés, au ton juste. Sa perspective humaniste et rêveuse le conduit à décrire un monde nu, tel qu'il est, sans artifice. Heurté par ce monde éloigné du respect humain, une sensibilité à fleur de peau, Dominique Lin s'évade à travers les mots. Un auteur à suivre.
 
 
 
 
 
 

LA PLUIE





Par les deux fenêtres qui sont en face de moi, les deux fenêtres qui sont à ma gauche, et les deux fenêtres qui sont à ma droite, je vois, j'entends d'une oreille et de l'autre tomber immensément la pluie. Je pense qu'il est un quart d'heure après midi : autour de moi, tout est lumière et eau. Je porte ma plume à l'encrier, et jouissant de la sécurité de mon emprisonnement, intérieur, aquatique, tel qu'un insecte dans le milieu d'une bulle d'air, j'écris ce poème.
Ce n'est point de la bruine qui tombe, ce n'est point une pluie languissante et douteuse. La nue attrape de près la terre et descend sur elle serré et bourru, d'une attaque puissante et profonde. Qu'il fait frais, grenouilles, à oublier, dans l'épaisseur de l'herbe mouillée, la mare ! Il n'est pas à craindre que la pluie cesse ; cela est copieux, cela est satisfaisant. Altéré, mes frères, à qui cette très merveilleuse rasade ne suffirait pas. La terre a disparu, la maison baigne, les arbres submergés ruissellent, le fleuve lui-même qui termine mon horizon comme une mer paraît noyé. Le temps ne me dure pas, et, tendant l'ouïe, non pas au déclenchement d'aucune heure, je médite le ton innombrable et neutre du psaume.
Cependant la pluie vers la fin du jour s'interrompt, et tandis que la nue accumulée prépare un plus sombre assaut, telle qu'Iris du sommet du ciel fondait tout droit au cœur des batailles, une noire araignée s'arrête, la tête en bas et suspendue par le derrière au milieu de la fenêtre que j'ai ouverte sur les feuillages et le Nord couleur de brou. Il ne fait plus clair, voici qu'il faut allumer. Je fais aux tempêtes la libation de cette goutte d'encre.

Paul Claudel
 
 
 
 

martes, 26 de noviembre de 2019

ÇA FAIT DU BIEN SOURIRE UN PEU !





LE KIWI




Bien que les Néo-Zélandais le cultivent depuis les années 1930 et l'exportent depuis et qu'ils ont nommé ce fruit kiwi du nom de cet oiseau qui est leur emblème, le kiwi n'est pas originaire de leur pays.
Le kiwi est originaire de Chine. On l'a nommé au départ : Groseille de Chine à cause de sa ressemblance avec la groseille à maquereau et de sa provenance.
C'est une enseignante qui apporte d'un séjour en Chine des graines d'une plante qui là-bas pousse naturellement, l'actinidia deliciosa, et qui produit ce fruit appelé Yang Tao.
Au départ sa culture se cantonnera aux jardins privés et aux amateurs de plantes rares. Puis en 1928 un horticulteur va créer une variété d'une belle forme et d'un goût très sucré.
La production ne va plus cesser d'augmenter. Dans les années 1950 l'exportation va commencer, notamment vers l'Angleterre pour se développer ensuite vers les États-Unis.
C'est pour l'exportation que les Néo-Zélandais ont renommé ce fruit Kiwi faisant référence à cet oiseau emblème de leur pays et à cause de sa ressemblance avec son corps tout rond et à la couleur de ses plumes. Le nom sera déposé et deviendra une marque.
 
Le kiwi est plus riche en vitamine C que l'orange. Un kiwi pris le matin au petit déjeuner apportera entre 100 et 150 mg de vitamine C. Il permet à lui seul de couvrir les besoins quotidiens en vitamine C.
Il contient également de la vitamine E, du potassium et du calcium. Il est riche en fibre avec très peu de calories pour ceux qui craignent de grossir.
Enfin, il contient une enzyme, l'Actinidine, qui facilite la digestion des protéines animales et leur assimilation.
Ce petit fruit a toutes les vertus. Profitons-en !!!
 
 
 
 
 

lunes, 25 de noviembre de 2019

JOURNÉE INTERNATIONALE POUR L'ÉLIMINATION DE LA VIOLENCE À L'ÉGARD DES FEMMES


 






En 2019, la campagne « Tous UNIS » marquera le début des 16 jours d'activisme pour mettre fin à la violence faite aux femmes, du 25 novembre au 10 décembre, sous le thème « Orangez le monde : la Génération Égalité s'oppose au viol ».
Bien que les noms, les époques et les contextes ne sont pas les mêmes, les femmes et les filles sont universellement touchées par le viol ainsi que la violence et les abus sexuels, tant en temps de paix que de guerre.
Le viol est ancré dans un ensemble complexe de croyances et de relations de pouvoir favorisant l'omniprésence et la normalisation de la violence sexuelle. Il est bien connu que l'obtention de chiffres exacts, s'agissant du viol et des agressions sexuelles, est très difficile en raison de la liberté et de l'impunité dont jouissent les agresseurs, de la stigmatisation des victimes et de leur silence.
 
 
 
 
 
 
 

CITATION DE RICHARD GERE





sábado, 23 de noviembre de 2019

HUMOUR DE MÉMÉ






POURQUOI UN JOURNAL S'APPELLE-T-IL AUSSI UN "CANARD" ?




Jusqu'au XIIIe siècle, le mot ''canard'' ne désignait pas l'animal mais était un surnom péjoratif que l'on donnait aux individus trop bavards.

Par extension, ce nom fut donné au journal, faisant référence aux journalistes qui relatent des évènements.

Origine du nom du journal ''Le canard enchaîné'' :
Son nom est une référence au journal ''L'Homme Libre'', édité par Georges Clemenceau, qui critiquait ouvertement le gouvernement de l'époque. Ce journal dut alors subir la censure, et son nom fut changé en ''L'Homme Enchainé'' puis par la suite ''Le Canard Enchaîné''.
 
Ma source: pourquois.com
 
 
 

LE PRONOM "ON"



 
Le pronom « on » a une place cruciale dans la langue française. « On » l'utilise tous les jours, à l'oral comme à l'écrit.
Mais il nous pose parfois des problèmes.
Quelle(s) personne(s) ce pronom « on » désigne-t-il ? Comment doit-on accorder les adjectifs, verbes ou participes qui l'accompagnent ?
Le pronom « on » a deux valeurs : pronom indéfini ou pronom personnel.
 
Pronom indéfini
 
Issu du latin « homo » qui signifie « homme », « on » est un pronom indéfiniIl ne désigne que des personnes de sexe et de nombre inconnus et n'inclut jamais la personne qui parle. Ce « on » est très souvent utilisé dans les proverbes ou maximes.
Pour vérifier qu'il s'agit d'un pronom indéfini, remplacez « on » par « quelqu'un », « tout le monde » ou « l’homme ».
Son verbe se met toujours à la troisième personne du singulier. Quant aux adjectifs attributs et aux participes passés qui l'accompagnent, ils sont invariables.
De la même façon, s'il y a des pronoms disjoints, ils sont à la troisième personne du masculin singulier.
Il est utilisé à l'oral et à l'écrit.
  • On reconnaît l'arbre à ses fruits. (on = l'homme)
  • On a frappé à la porte. (on = quelqu'un)
  • On m'a volé mes clés. (on = quelqu'un)
  • On doit fermer la porte derrière soi. (on = tout le monde)

Pronom personnel

Le pronom « on » peut également avoir le sens de « nous », il est alors pronom personnel. Il inclut donc la personne qui parle.
Il y a quelques années, cette utilisation appartenait au registre familier mais aujourd'hui, « on » est de plus en plus employé dans des conversations courantes.  Cependant, à l'écrit ou dans des conversations formelles, il est conseillé d'utiliser le pronom « nous ».
Pour vérifier s'il s'agit d'un pronom personnel, remplacez « on » par « nous ». 
Si « on » a le même sens que « nous », faites attention, son verbe est toujours au singulier. En revanche, l'adjectif attribut, le participe passé s'accordent en genre et en nombre en fonction des personnes qu'il désigne. S'il y a des pronoms disjoints, ils sont à la première personne du pluriel.
  • Hier, on est allés au cinéma avec nos amis.
  • On est allées au restaurant avec nos maris.
Attention
Pour éviter le hiatus de « qu'on », il faut ajouter un l apostrophe entre « que » et « on » et écrire « que l'on ». 

  • On ne s'exprime clairement que lorsque l'on connaît bien son sujet. (on = quelqu'un)
  • Il faut que l'on parte. (on = nous)
Remarque : Utiliser « on » à la place du « nous » est très courant mais il est également possible que le pronom « on » représente une ou des personnes bien identifiées et concurrence les pronoms personnels je, tu, il, elle, vous, ils, elles. C'est le contexte qui vous permet de savoir à qui ce « on » fait référence.
  • On a fini de manger ? (« on » = « tu »)
  • On a compris la leçon ? (« on » = « elle »)
  • Qu'est-ce qu'on prendra ? (« on » = « vous »)
De même, vous pouvez rencontrer « nous » et « on » dans la même phrase au registre familier. Cependant faites attention, cette utilisation est déconseillée par les grammairiens dans les autres registres.
  • Nous, on pense que vous avez raison.
Pour résumer, si « on » exclut la personne qui parle, il s'agit du pronom « on » indéfini et l'accord est au singulier. Si « on » inclut le locuteur, il s'agit du pronom personnel, il faut alors accorder le participe passé ou l'attribut en genre et en nombre en fonction des personnes qu'il désigne.
 
Ma source: parlez-vous-french.com
 
 
 
 

miércoles, 20 de noviembre de 2019

PRIX GONCOURT DES LYCÉENS 2019




Le Prix Goncourt des lycéens 2019 a été attribué le 14 novembre à Karine Tuil pour son roman "Les choses humaines" (Gallimard)