Un bar à chats à Paris. C’est le projet original d’une jeune Française, qui va tenter d’adapter ce concept très japonais à un public français grâce au financement participatif.
Ces "neko-cafés", où l’on peut prendre un verre et se détendre en caressant les félins, sont très répandus au Japon. Néanmoins, ils sont encore inédits sur le continent européen.
L’établissement, qui s’intitulera simplement "Le café des chats", se situera à Paris et sera financé par le crowd-funding, une nouvelle pratique qui consiste à trouver l’argent nécessaire grâce à des dons via des sites internet servant de plateforme de diffusion et de récolte.
Ces établissements ont la particularité d'héberger un grand nombre de chats avec lesquels les clients peuvent interagir. On en dénombre plus d’une centaine au Japon, la plupart dans les grandes villes, ce qui en fait le pays le plus friand de bars à chats. Un succès qui pourrait s’expliquer par l’impossibilité de certains Japonais à héberger des animaux chez eux. En cause : les interdictions des propriétaires ou les appartements trop petits.
Pourtant, malgré leur popularité sur l’archipel, les neko-cafés ne sont pas originaires du Japon. Le premier bar à chats a été ouvert en 1998 à Taipei, sur l’île de Taiwan. Le concept est arrivé au Japon assez tard. Ce concept très asiatique pourrait-il s’implanter et s’adapter à l’occident, et à la France plus particulièrement ?
C'est l'Autriche le premier pays européen à autoriser l'ouverture d'un Cat café. Ensuite, l'Hongrie, l'Allemagne et le Royaume Uni. En Espagne, on aura aussi une Gatoteca à Madrid.
C'est l'Autriche le premier pays européen à autoriser l'ouverture d'un Cat café. Ensuite, l'Hongrie, l'Allemagne et le Royaume Uni. En Espagne, on aura aussi une Gatoteca à Madrid.
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