- Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité.
- Toutes les grandes personnes ont d'abord été des enfants, mais peu d'entre elles s'en souviennent.
- Tu te jugeras donc toi-même, lui répondit le roi. C'est le plus difficile. Il est bien plus difficile de se juger soi-même que de juger autrui.
- Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis.
- Il ne savait pas que, pour les rois, le monde est très simplifié. Tous les hommes sont des sujets.
- L'autorité repose d'abord sur la raison. Si tu ordonnes à ton peuple d'aller se jeter à la mer, il fera la révolution. J'ai le droit d'exiger l'obéissance parce que mes ordres sont raisonnables.
- Connaître ce n'est pas démontrer, ni expliquer. C'est accéder à la visión.
- Tu es responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé.
- Qu'est-ce que signifie «apprivoiser»? C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie «créer des liens…»
- La fin d'une chose marque le commencement d'une nouvelle.
- Je ne savais pas trop quoi dire. Je me sentais très maladroit. Je ne savais comment l'atteindre, où le rejoindre… C'est tellement mystérieux le pays des larmes !
- Apprivoise-moi ! Que faut-il faire ? dit le petit prince. Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus.
- Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde.
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