Bienvenus à cette nouvelle expérience!!!!!

Bonjour à tous et à toutes et bienvenus sur le blog du Département de français. C'est en septembre 2011 que l'on commence à démarrer et c'est avec un mélange d'appréhension et d'excitation qu'on s'y met.

Ce mode d'expression est en vogue sur internet, donc, nous allons en profiter.

Il n'y a pas que nous, Beatriz et Conchita qui allons écrire; à votre tour vous allez pouvoir y participer. Rassurez-vous!!!! On corrigera avant!!!!

Vous allez découvrir sur ce blog toute l'actualité, des conseils, des aides précieuses, etc.

Nous, on le crée mais il faut l'animer. On compte sur vous!!!!

sábado, 7 de diciembre de 2019

ÊTRE CORDON BLEU




Être un cordon bleu puise ses origines au XVIè siècle durant les guerres de religion. Métaphore marquant l'excellence, elle a pris progressivement une connotation gastronomique.
 
Sa signification
 
Un cordon bleu désigne une personne qui cuisine très bien, un cuisinier très habile, très doué, qui fait une excellente cuisine.
Être un cordon bleu signifie être un fin, un excellent cuisinier.
 
Son origine
Durant les guerres de Religion en 1578, Henri III institua l'ordre du Saint-Esprit en vue de regrouper les principaux chefs du parti catholique pour lutter contre les protestants. Cette organisation catholique rassemblait des hommes mûrs, de plus de 35 ans, issus de la noblesse.
Premier et le plus prestigieux ordre de la monarchie française, ses chevaliers portaient comme symbole honorifique une croix de Malte accrochée à un large ruban de couleur moirée bleu céleste (bleu ciel), appelé cordon, passé en écharpe de l'épaule droite au coté gauche. De là vint l'expression « Cordon bleu » donnée aux Chevaliers.
 


 
Le « cordon bleu », distinction suprême dans l'aristocratie française, symbolisa par la suite la supériorité, la grandeur et les honneurs (« une rare élévation »). Porté en sautoir à l'origine, seuls les ecclésiastiques le porteront de cette façon par la suite; les chevaliers conservant l'écharpe.
 
La référence culinaire reviendrait aux chevaliers de l'ordre du Saint-Esprit, qui se réunissaient régulièrement et formaient un « club de gourmands », cultivant l'art du bien manger et du bien boire.
Au XVIIe siècle, un candidat à l'Académie française se serait adressé à l'assemblée en déclarant qu'elle était « le cordon bleu des beaux esprits ».
 
Ma source: culture-crunch.com 
 
 
 
 

No hay comentarios:

Publicar un comentario

Nota: solo los miembros de este blog pueden publicar comentarios.