Bienvenus à cette nouvelle expérience!!!!!

Bonjour à tous et à toutes et bienvenus sur le blog du Département de français. C'est en septembre 2011 que l'on commence à démarrer et c'est avec un mélange d'appréhension et d'excitation qu'on s'y met.

Ce mode d'expression est en vogue sur internet, donc, nous allons en profiter.

Il n'y a pas que nous, Beatriz et Conchita qui allons écrire; à votre tour vous allez pouvoir y participer. Rassurez-vous!!!! On corrigera avant!!!!

Vous allez découvrir sur ce blog toute l'actualité, des conseils, des aides précieuses, etc.

Nous, on le crée mais il faut l'animer. On compte sur vous!!!!

miércoles, 26 de septiembre de 2018

CARIATIDE DU 57 RUE TURBIGO






À quelques pas du Musée des Arts et métiers se cache, au n° 57 de la rue de Turbigo (3e arrondissement), l'un des décors de façade les plus surprenants de Paris. 
Haute de 3 étages, cette cariatide à l'origine mystérieuse est néanmoins, si vous levez bien les yeux, impossible à louper !
Les cariatides (statues de femmes souvent vêtues d'une longue tunique, utilisées en remplacement de colonnes) ne manquent pas à Paris. On en compte des centaines aux quatre coins de la capitale, le plus souvent utilisées pour orner de hauts porches. La cariatide de la rue Turbigo reste néanmoins, et de loin, la plus haute de Paris.

Histoire et signification 

On doit cette immense silhouette à Auguste Emile Delange, qui proposa en 1851 au concours des Beaux-Arts le dessin de cette cariatide. Le thème, à la base, n'avait pourtant pas grand chose à voir, puisqu'il demandait la conception d'un phare en hommage à Augustin Fresnel, fondateur de l'optique moderne.
Sept ans plus tard, ce n'est pas un phare, mais bel et bien la belle cariatide qui orna cet immeuble de pur style Haussmannien.
Un décor aussi exceptionnel que mystérieux, puisqu'à part son origine, on ne sait pas grand chose de cette sculpture, baptisée selon l'époque « le génie », « l'ange du bizarre » ou même « la femme qu'a l'sac ». Un surnom dû à la petite bourse qu'elle tient à la main droite, accessoire typique du Second Empire.
Le brin de myrrhe tenu dans sa main gauche est quant à lui une évocation des déesses grecques, en hommage aux plus célèbres des Cariatides, situées à l'Acropole d'Athènes.
 
Ma source: unjourdeplusaparis.com
 
 
 

 
 

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