Victor Hugo a marqué l'histoire de Paris. D'ailleurs, une station de métro et une avenue portent le nom de l'illustre écrivain dans la capitale. Engagé dans bien des causes, on lui doit des trésors que l'on peut encore découvrir aujourd'hui.
La vie parisienne de Victor Hugo
Contrairement à ce que l'on pourrait croire l'écrivain n'est pas né à Paris, mais à Besançon en 1802. En revanche, il passe son enfance dans la Ville Lumière, et plus particulièrement dans le 5e arrondissement, au 8 rue des Feuillantines. Il usera notamment les bancs du célèbre lycée Louis Le Grand. Plus tard, il se mariera à l'église Saint-Sulpice dans le 6e arrondissement avec son amour de jeunesse Adèle Foucher. Ensuite, la famille déménagera plusieurs fois au gré des naissances de leurs cinq enfants. Ainsi, l'auteur habitera au 90 rue de Vaugirard, au 11 rue Notre-Dame des Champs, rue Jean Goujon (dans le 8e arrondissement) et place des Vosges de 1832 à 1848. L'on peut découvrir aujourd’hui son appartement au 2ème étage de l'hôtel particulier de Rohan-Guéménée qui a été transformé en musée et nous emmène dans la vie de Victor Hugo. À sa mort, des funérailles nationales ont été organisées. Son cercueil a été déposé une nuit sous l'Arc de Triomphe et a été ensuite transféré au Panthéon.
Victor Hugo, grand défenseur du patrimoine
En 1831, Victor Hugo écrit Notre-Dame de Paris avec une petite idée en tête : sauver la cathédrale, menacée de destruction. L'engouement pour le roman est tel que les Parisiens se mobilisent en faveur de sa conservation. Quatre ans plus tard, c'est un autre chef d'oeuvre qui inquiète l'auteur. Il intervient alors pour la restauration de la Sainte-Chapelle. Pour redonner une apparence digne de son histoire à l'édifice, il vante ses qualités dans un journal. Il met en avant la popularité de ce patrimoine. On trouve également une trace de Victor Hugo dans l'église Saint-Paul. Pour le mariage de sa fille Léopoldine en 1843, il offre deux magnifiques bénitiers à l'église. On peut encore les découvrir aujourd'hui.
En 1883, ce sont les arènes de Lutèce qui ont un avenir incertain. La ville souhaite les raser pour construire un dépôt de bus. Victor Hugo sort alors sa plume pour écrire au Conseil Municipal.
Comme on peut le voir, l'écrivain a énormément œuvré pour la préservation du patrimoine parisien, et plus particulièrement des trésors médiévaux, qui intéressaient peu de monde à l'époque.
En 1883, ce sont les arènes de Lutèce qui ont un avenir incertain. La ville souhaite les raser pour construire un dépôt de bus. Victor Hugo sort alors sa plume pour écrire au Conseil Municipal.
Comme on peut le voir, l'écrivain a énormément œuvré pour la préservation du patrimoine parisien, et plus particulièrement des trésors médiévaux, qui intéressaient peu de monde à l'époque.
Ma source: pariszigzag.fr
No hay comentarios:
Publicar un comentario
Nota: solo los miembros de este blog pueden publicar comentarios.