Gabrielle Chanel (1883-1971) est née dans une famille d'origine paysanne, d'un père marchand ambulant et d'une mère lingère et repasseuse qui meurt à 32 ans, épuisée par la vie.
Son père abandonne ses cinq enfants et dépose en carriole ses trois filles à l'orphelinat.
Gabrielle a 12 ans, elle ne le reverra jamais. Elle a toujours préféré croire et faire croire qu'il était parti faire carrière en Amérique.
Dans le couvent de l'abbaye d'Aubazine Gabrielle passe presque sept années. C'est dans la pureté romane de cet univers monacal que la jeune Gabrielle va puiser son sens du dépouillement et son goût pour le noir et blanc, et c'est dans la luxuriance des vêtements religieux et des objets liturgiques qu'elle va éprouver sa fascination pour le baroque, l'or et les pierres de couleur.
Pour gagner sa vie, le jour elle pousse l'aiguille et le soir la chansonnette dans un cabaret devant des cavaliers en garnison. On la surnomme Coco parce qu'elle chante souvent : « Qui qu'a vu Coco dans le Trocadéro » ? Elle a toujours préféré prétendre que Coco était le surnom que son père lui donnait.
Gabrielle est une jeune femme aux allures de garçon, elle s'habille comme personne, s'inspire du vestiaire masculin et confectionne des chapeaux qu'elle décoiffe de leurs plumes et de leurs oiseaux pour les rendre plus simples, plus légers, plus chics.
Ses premières clientes sont les cocottes, mais très vite, les élégantes se précipitent.
Elle tombe amoureuse de Boy Capel, il est anglais, riche et cultivé. Il sera l'homme de sa vie, il lui fait découvrir les grands textes, l'orient et l'ésotérisme. Il aide Coco à devenir Chanel. Il lui permet d'ouvrir ses premières boutiques à Paris, Deauville et Biarritz. Elle veut travailler pour obtenir sa liberté.
Coco révolutionne la mode quand, d'un coup de génie, elle transforme la silhouette des femmes, elle raccourcit les robes, dévoile les chevilles, libère la taille, jette les corsets, récupère le jersey, se coupe les cheveux et se fait bronzer.
Chanel enterre une époque et fait changer la mode de siècle.
En 1918, au 31 rue Cambon, Mademoiselle Chanel ouvre sa première maison de couture à Paris.
Son père abandonne ses cinq enfants et dépose en carriole ses trois filles à l'orphelinat.
Gabrielle a 12 ans, elle ne le reverra jamais. Elle a toujours préféré croire et faire croire qu'il était parti faire carrière en Amérique.
Dans le couvent de l'abbaye d'Aubazine Gabrielle passe presque sept années. C'est dans la pureté romane de cet univers monacal que la jeune Gabrielle va puiser son sens du dépouillement et son goût pour le noir et blanc, et c'est dans la luxuriance des vêtements religieux et des objets liturgiques qu'elle va éprouver sa fascination pour le baroque, l'or et les pierres de couleur.
Pour gagner sa vie, le jour elle pousse l'aiguille et le soir la chansonnette dans un cabaret devant des cavaliers en garnison. On la surnomme Coco parce qu'elle chante souvent : « Qui qu'a vu Coco dans le Trocadéro » ? Elle a toujours préféré prétendre que Coco était le surnom que son père lui donnait.
Gabrielle est une jeune femme aux allures de garçon, elle s'habille comme personne, s'inspire du vestiaire masculin et confectionne des chapeaux qu'elle décoiffe de leurs plumes et de leurs oiseaux pour les rendre plus simples, plus légers, plus chics.
Ses premières clientes sont les cocottes, mais très vite, les élégantes se précipitent.
Elle tombe amoureuse de Boy Capel, il est anglais, riche et cultivé. Il sera l'homme de sa vie, il lui fait découvrir les grands textes, l'orient et l'ésotérisme. Il aide Coco à devenir Chanel. Il lui permet d'ouvrir ses premières boutiques à Paris, Deauville et Biarritz. Elle veut travailler pour obtenir sa liberté.
Coco révolutionne la mode quand, d'un coup de génie, elle transforme la silhouette des femmes, elle raccourcit les robes, dévoile les chevilles, libère la taille, jette les corsets, récupère le jersey, se coupe les cheveux et se fait bronzer.
Chanel enterre une époque et fait changer la mode de siècle.
En 1918, au 31 rue Cambon, Mademoiselle Chanel ouvre sa première maison de couture à Paris.
Ses citations:
« La mode se démode, le style jamais ».
« Le luxe, n'est pas le contraire de la pauvreté mais celui de la vulgarité ».
« Si une femme est mal habillée, on remarque sa robe, mais si elle est impeccablement vêtue, c'est elle que l'on remarque ».
« Vous n'aurez pas deux fois l'occasion de faire une première bonne impression ».
« Pour être irremplaçable, il faut être différent ».
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