Je me balade, au grès du vent,
Habillé comme les bourgeois,
Sur mon fidèle cheval blanc.
Me voici fou et pleins de joie.
Le chemin me paraît très long,
Il se perd presque à l'horizon.
Loin, je ne sais pas où je vais
Mais j'aime cette liberté.
Habillé comme les bourgeois,
Sur mon fidèle cheval blanc.
Me voici fou et pleins de joie.
Le chemin me paraît très long,
Il se perd presque à l'horizon.
Loin, je ne sais pas où je vais
Mais j'aime cette liberté.
Sous le soleil, au loin, brillant,
Nous marchons doucement, au trot.
Devant moi, d'un coup, au galop,
Voici une belle jument.
Tout est blanc près de cette dame
Sortant de la sombre forêt,
Nous restons figés, sans bouger.
D'un seul coup, elle troubla mon âme.
Je la vois disparaître un peu,
Se retournant sur le chemin,
Je crus entendre le mot "Viens !".
Alors je la suivis, heureux.
Où va-t-elle ? Où m'emmène-t-elle ?
D'où vient-elle ? Du ciel ? Qui est-elle ?
Suivant, sans poser de question,
Je veux juste savoir son nom.
Me voici enfin arrivé
Devant un beau et très grand pré.
Je m'assieds ici, auprès d'elle,
Pour regarder le joli ciel.
Le paysage est merveilleux.
Nous faisons un peu connaissance,
Parlons de notre belle enfance,
En nous regardant dans les yeux.
David Gandil
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