IL EXISTE QUATRE VERSIONS DU TABLEAU "LE CRI" D'EDVARD MUNCH
Le Cri (Skrik, 1893) est un tableau expressionniste de l'artiste norvégien Edvard Munch. Il fait parti de la série La Frise de la Vie, que Munch a assemblée au tournant du siècle ; il traite d'une manière récurrente des thèmes de la vie, de l'amour, de la peur et de la mort. Cette oeuvre, symbolisant l'homme moderne emporté par une crise d'angoisse existentielle, est souvent considérée comme l'oeuvre la plus importante de l'artiste.
Le paysage au fond est Oslo, vu depuis la colline. Selon Donald Olson, professeur d'astrophysique à l'université du Texas, ce coucher de soleil d'un rouge flamboyant, était vraisemblablement provoqué par les cendres émises lors de l'explosion du volcan Krakatoa en 1883.
Munch écrit : "Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait — tout d'un coup le ciel devint rouge sang — je m'arrêtai, fatigué, et m'appuyai sur une clôture — il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et la ville — mes amis continuèrent, et j'y restai, tremblant d'anxiété — je sentais un cri infini qui se passait à travers l'univers".
Munch exécuta quatre versions du tableau, dont les plus fameuses sont une tempera* sur carton au musée Munch d'Oslo (de 83,5 cm de haut sur 66 cm de large), et une huile, tempera et pastel à la Galerie nationale d'Oslo (91 cm de haut sur 73,5 cm de large). Une troisième version appartient également au musée Munch, une quatrième figure dans une collection particulière appartenant au milliardaire norvégien Petter Olsen.
*procédé de peinture consistant à délayer des pigments en poudre dans de l'eau additionnée d'un agent liant tel le jaune d'oeuf
Munch écrit : "Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait — tout d'un coup le ciel devint rouge sang — je m'arrêtai, fatigué, et m'appuyai sur une clôture — il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et la ville — mes amis continuèrent, et j'y restai, tremblant d'anxiété — je sentais un cri infini qui se passait à travers l'univers".
Munch exécuta quatre versions du tableau, dont les plus fameuses sont une tempera* sur carton au musée Munch d'Oslo (de 83,5 cm de haut sur 66 cm de large), et une huile, tempera et pastel à la Galerie nationale d'Oslo (91 cm de haut sur 73,5 cm de large). Une troisième version appartient également au musée Munch, une quatrième figure dans une collection particulière appartenant au milliardaire norvégien Petter Olsen.
*procédé de peinture consistant à délayer des pigments en poudre dans de l'eau additionnée d'un agent liant tel le jaune d'oeuf
No hay comentarios:
Publicar un comentario
Nota: solo los miembros de este blog pueden publicar comentarios.