Bienvenus à cette nouvelle expérience!!!!!

Bonjour à tous et à toutes et bienvenus sur le blog du Département de français. C'est en septembre 2011 que l'on commence à démarrer et c'est avec un mélange d'appréhension et d'excitation qu'on s'y met.

Ce mode d'expression est en vogue sur internet, donc, nous allons en profiter.

Il n'y a pas que nous, Beatriz et Conchita qui allons écrire; à votre tour vous allez pouvoir y participer. Rassurez-vous!!!! On corrigera avant!!!!

Vous allez découvrir sur ce blog toute l'actualité, des conseils, des aides précieuses, etc.

Nous, on le crée mais il faut l'animer. On compte sur vous!!!!

martes, 31 de julio de 2018

CET INSTANT EST UN PRÉSENT




Cet instant est un « présent ».
Il n'y a jamais deux instants qui soient identiques.
Chaque moment qu'il nous est donné de vivre est unique.
Demain, après-demain, le mois prochain, tous ces lendemains n'existent pas.
Il n'existe qu'un temps où nous sommes vivants.
C'est maintenant ?
L'instant présent est une précieuse parcelle de notre existance.
Il mérite toute notre attention.
Notre vie entière est contenue dans ce moment même.
Si nous passons à côté de cet instant, nous passons à côté de notre vie.


Nicole Bordeleau, Revenir au monde.



lunes, 30 de julio de 2018

L'INNOCENCE DES ENFANTS




Vieillesse

Lorsque je travaillais pour une entreprise qui livre des repas dans un foyer pour personnes âgées, j'avais l'habitude d'emmener ma petite fille de 4 ans avec moi.
Les divers accessoires des vieillards, particulièrement les cannes, déambulateurs et fauteils  roulants, l'intriguaient beaucoup.
Un jour, je la retrouve fascinée devant un verre contenent un dentier. comme je me préparais à une suite inevitable de questions, elle se retourne simplement et chuchote:
"La petite souris ne croira jamais ça !!!".
 
Bébé
 
Un jour, le petit Maxime, 6 ans, demande à sa mère:
- Pourquoi t'as un gros ventre?
La mère lui  répond:
- Parce que ton papa m'a donné un bébé, mon chéri.
Plus tard, lorsque son père rentre de son travail, le gamín lui demande:
- C'est vrai que tu as donné un bébé à maman?
- Oui.
Et le petit Maxime, effondré, dit:
- Elle l'a mangé.
 
 
 
 

domingo, 29 de julio de 2018

DANS TA VIE...



" Ne joue pas un rôle, reste toi-même !
Ne mens pas, sois honnête !
Ne fais pas semblant d'aimer, aime les personnes qui font battre ton coeur !
Ne joue pas avec les autres, ou la vie te le rendra.
Parfois, on joue sa vie comme dans une pièce de théatre mais ne sois pas juste acteur, sois-en le réalisateur .
Écris-la, et accomplie-la comme tu le désires, toi. Dans ta peau à toi, pas dans celle d'un autre !
Chasse les nuages de ta tête, ne regarde pas ta vie défiler à travers la fenêtre en attendant qu'elle passe.
Sors, vis, agis !!!
Ne fais pas juste semblant d'être heureux, soit-le ! "

 (
Alexandra Julien)

 
 


martes, 24 de julio de 2018

LE CHEMIN VERS LE BONHEUR...




Le chemin vers le bonheur :
gardez votre coeur libre de haine,
votre esprit libre de tout souci.
Vivre simplement,
attendre peu,
donner beaucoup.
Disperser du soleil,
s'oublier soi-même,
penser aux autres.
 
Norman Vincent Peale
 
 

 
 

L'EAU ET LA SANTÉ





viernes, 20 de julio de 2018

LE VOYAGE...





 
 
 
 
Roland Lecavelé, dit Roland Dorgelès, né le à Amiens et mort le à Paris, est un journaliste et écrivain français, membre de l'Académie Goncourt de 1929 à 1973.



jueves, 19 de julio de 2018

L'ÉCOLE EST FERMÉE




L'école est fermée ;
Le tableau s'ennuie ;
Et les araignées
Dit-on, étudient
La géométrie
Pour améliorer
L'étoile des toiles :
Toiles d'araignées,
Bien évidemment.

L'école est fermée
Les souris s'instruisent,
Les papillons lisent,
Les pupitres luisent,
Ainsi que les bancs.

L'école est fermée,
Mais si l'on écoute
Au fond du silence,
Les enfants sont là
Qui parlent tout bas

Et dans la lumière,
Des grains de poussière,
Ils revivent toute
L'année qui passa,
Et qui s'en alla...

Georges Jean
 
 
 
 

miércoles, 18 de julio de 2018

MONTSOREAU (FRANCE)




Entre Anjou et Touraine, Montsoreau a pour cadre prestigieux la Loire, fleuve légendaire au pied duquel se mire un château du XVe S rendu célèbre par le roman d'Alexandre Dumas « La dame de Montsoreau ». Tout autour, ruelles fleuries aux maisons en tuffeau blanc coiffées d'ardoises et chemins verts conduisent aux vignobles du Saumurois.
 
 
 

martes, 17 de julio de 2018

QUAND LES ENFANTS SONT PETITS...





Quand les enfants sont tous petits, ils ont un sens inné du merveilleux, ils croient que tout est vivant, que tout est intelligent : ils parlent aux insectes, aux pierres, aux animaux, aux plantes. Quelques années plus tard, ils perdent ce sens du merveilleux, parce que les adultes se moquent d'eux, et même s'ils ne se moquent pas, leur attitude matérialiste et grossière finit par déteindre sur les enfants.
 
Une fois que les enfants ont perdu ce sens du merveilleux, ils ont vraiment perdu l'essentiel. Car il ne faut pas s'imaginer que c'est une grande preuve de supériorité de la part des adultes de croire que l'univers n'a ni âme, ni intelligence, que l'homme est le seul être vivant et intelligent.

Toute la nature est vivante et intelligente, elle est peuplée de créatures vivantes et intelligentes, certaines même bien plus intelligentes que l'homme. Et du jour où l'homme nie cette intelligence et cette vie, c'est en lui-même que l'aveuglement et la mort commencent à s'installer.
 
Omraam Mikhaël Aïvanhov
 
 
 
 

 
 
 
 

VOYAGER



 
Voici 10 bonnes raisons de voyager :
  • Le voyage nous sort de notre train-train quotidien. Il pimente notre vie qui peut se résumer à autre chose que métro-boulot-dodo. 
  • Le voyage permet de nous bâtir un échantillonnage de souvenirs. On voyage pour l'ouverture à l'autre. Pour apprendre d'une autre culture et sur soi. Comprendre les mœurs d'un autre peuple permet de relativiser notre propre existence et remet parfois nos valeurs à la bonne place. 
  • Pour la rencontre.
  • Pour le plaisir d'échanger. Pour connecter avec un autre humain malgré toutes nos différences.
  • Pour oser être soi. Voyager nous procure une liberté d'action incroyable et une impression de grand pouvoir sur notre destinée. 
  • Pour le déséquilibre et le lâcher-prise qui font tomber nos « masques » et nos « boucliers » et qui révèlent notre véritable nature.
  • Pour assouvir notre soif de curiosité. Apprendre, découvrir, échanger. Chaque jour est une nouvelle expérience à vivre.
  • Pour le plaisir. C'est assez jouissif de s'abandonner doucement au plaisir de la rencontre, du pourquoi pas. Être dans le moment présent.
  • Pour éveiller nos sens. Remplir nos sens de beauté nous permet de se sentir incroyablement vivant.
  • Pour le sentiment d'accomplissement. De retour à la maison, on est fier d'avoir fait un pas dans une nouvelle direction. Fier d'avoir vaincu sa peur en tout ou en partie. 
 
ET VOILÀ !!! Il ne vous reste plus qu'à réserver votre billet dès maintenant.
 
 
 

lunes, 16 de julio de 2018

ÉLOGE D'UN VOYAGE




« On ne voyage pas pour se garnir d'exotisme et d'anecdotes comme un sapin de Noël, mais pour que la route vous plume, vous rince, vous essore, vous rende comme ces serviettes élimées par les lessives. »
 
« Finalement, ce qui constitue l'ossature de l'existence, ce n'est ni la famille, ni la carrière, ni ce que d'autres diront ou penseront de vous, mais de quelques instants de cette nature, soulevés par une lévitation plus sereine encore que celle de l'amour, et que la vie nous distribue avec une parcimonie à la mesure de notre faible cœur. »

Nicolas Bouvier, L'usage du monde.
 

 
 
L'usage du monde est le récit du voyage qu'ont mené l'écrivain suisse, Nicolas Bouvier, et son compagnon de route, le peintre Thierry Vernet au debut des années 1950. Un voyage de presque deux ans de la Yougoslavie au Pakistan. Partis avec un accordéon, une petite Fiat Topolino et 3 000 francs en poche, les deux jeunes suisses traversent l'Europe puis l'Asie centrale vivant de petits boulots, d'expositions, d'articles ou de conférences.
Le livre s'achève en Afghanistan à la passe de Khyber.
L'usage du monde n'est devenu « culte » que dans les années 1980. Les qualité littéraires sont pourtant là mais il aura fallu un peu de temps. Le temps sans doute que le rythme du voyage contraste avec l'urgence d'un monde rapide. Car ce livre est l'éloge d'un voyage volontairement lent. Un voyage au gré des saisons où l'impératif de « voir » cède à la volonté de se fondre et de se tester dans un monde inconnu.
 L'usage du monde invite au rêve et au voyage de l'imagination.
 
 
 
Quelle délicieuse idée celle de se replonger dans Bouvier pendant l'été !!! Non ?
Je trouve que c'est parfait pour larguer les amarres. Qu'en pensez-vous ?
Belle lecture.