Bienvenus à cette nouvelle expérience!!!!!

Bonjour à tous et à toutes et bienvenus sur le blog du Département de français. C'est en septembre 2011 que l'on commence à démarrer et c'est avec un mélange d'appréhension et d'excitation qu'on s'y met.

Ce mode d'expression est en vogue sur internet, donc, nous allons en profiter.

Il n'y a pas que nous, Beatriz et Conchita qui allons écrire; à votre tour vous allez pouvoir y participer. Rassurez-vous!!!! On corrigera avant!!!!

Vous allez découvrir sur ce blog toute l'actualité, des conseils, des aides précieuses, etc.

Nous, on le crée mais il faut l'animer. On compte sur vous!!!!

viernes, 23 de diciembre de 2016

"PETIT PAPA NOËL" CHANTÉ PAR CÉLINE DION



Clic sur le lien et... Très bonne écoute!!!

https://www.youtube.com/watch?v=El-n-Rs5A7k





L'INTELLIGENCE ÉMOTIONNELLE: UN CAPITAL À DÉVELOPPER CHEZ LES JEUNES



L'intelligence émotionnelle, qu'est-ce que c'est ?

Daniel Goleman, qui a inventé et popularisé le concept d'intelligence émotionnelle, la définit comme "notre capacité à apprendre les diverses aptitudes pratiques qui sont fondées sur cinq composantes : la conscience de soi, la motivation, la maîtrise de soi, l'empathie et la maîtrise des relations humaines". Certains prétendent la mesurer à la manière d'un quotient intellectuel, mais à ce jour, aucun outil fiable et scientifiquement validé n'existe pour cela. Cependant, cette notion d'intelligence émotionnelle n'est pas sans intérêt car on sait bien que la réussite dans la vie professionnelle et personnelle, contrairement à la réussite scolaire, n'est pas corrélée au quotient intellectuel, par exemple, et dépend beaucoup de compétences émotionnelles.

Plus précisément, de quelles compétences parle-t-on ?

Plusieurs listes de compétences émotionnelles existent, qui recoupent pour beaucoup celle-ci :
  1. Évaluer ses propres émotions: Être capable d'identifier ses propres émotions, sans se laisser submerger par elles, est tout un art. Et la maîtrise de cet art est précieuse, car il permet de prendre du recul, de ne pas agir " sur un coup de tête ".
  2. Évaluer les émotions des autres : c'est ce qu'on appelle l'empathie. Il s'agit de repérer chez l'autre les signes d'une émotion, et de les interpréter. Ainsi, on peut mieux adapter ses propres réactions, pour établir une relation constructive.
  3. Exprimer ses émotions: Exprimer ses émotions de manière appropriée permet dans un premier lieu de les extérioriser (et donc de ne pas laisser monter la pression à la manière d'une cocotte-minute), de créer et maintenir le dialogue, de faire comprendre et faire valoir son point de vue.
  4. Gérer ses propres émotions: Gérer ses émotions nécessite bien sûr de les identifier. Il s'agit, essentiellement, d'apprendre à se maîtriser, à contrôler ou rediriger ses pulsions, à réfléchir avant d'agir.
  5. Gérer son impact sur les émotions des autres: savoir se présenter à l'autre de manière à attirer sa sympathie, à encourager la création de liens, à le persuader, à le motiver, voilà une compétence qui favorise grandement la réussite, en particulier professionnelle !
  6. Utiliser ses émotions dans la résolution de problèmes: se connaître suffisamment pour identifier ses " moteurs ", ses facteurs de motivation interne, être capable d'utiliser ses émotions pour dépasser une difficulté.

Qui est concerné ?

Tout le monde bien sûr ! L'intelligence émotionnelle peut évoluer tout au long de la vie, mais pourquoi attendre pour la développer ?
Certaines personnes pourront particulièrement bénéficier d'un travail ciblé sur l'intelligence émotionnelle. C'est particulièrement le cas des personnes avec un TDAH, qui peuvent souffrir d'une impulsivité particulièrement embarrassante, ou des personnes avec autisme, encombrées par un déficit dans l'identification de leurs propres émotions et celles des autres. Des thérapeutes comportementalistes et cognitivistes, des psychomotriciennes, des orthophonistes travaillent sur ces différents points avec succès.
Le travail qui est mené dans ces situations donne des pistes à tous pour développer sa propre intelligence émotionnelle, et celle de ses enfants.

Comment la développer chez les jeunes ?

1. Enrichir le vocabulaire des sentiments

Le langage permet de conscientiser ses émotions et ses sentiments : mettre un nom sur une émotion, c'est faire un pas de géant pour l'accueillir et la gérer. Pour enrichir ce vocabulaire, le principal outil est bien évidemment le dialogue, un dialogue ouvert par les parents dans l'idéal, et qui ne cherche pas à nier les émotions ou à les réprimer. Parfois, quand les mots manquent - car nous, parents, n'avons pas toujours eu la chance d'être encouragés à exprimer nos émotions et nos sentiments - on peut s'aider d'outils comme une roue des émotions.
En règle générale, la pratique de la Communication NonViolente dans le cadre familial permettra aux enfants et adolescents de développer assez rapidement cette compétence.

2. Apprendre à identifier les émotions chez les autres

Identifier les émotions chez les autres, c'est bien plus facile quand on sait les identifier chez soi-même : on peut se mettre à la place de l'autre, apprendre à observer ses réactions physiques et les mettre en relation avec ce qu'on a pu remarquer chez soi, ou chez ses proches.
Là encore, la verbalisation est essentielle. Parents, vous pouvez par exemple engager la conversation en disant à votre enfant : " Je vois que tu es silencieux, que tu as le regard ailleurs. Est-ce que tu es préoccupé ? inquiet ? As-tu besoin de quelque chose ? " Ainsi, vous lui montrez à la fois de l'intérêt, et vous lui apprenez à reconnaître en lui, et chez les autres, des émotions ou des sentiments, et à y relier des besoins. Vous l'encouragez aussi à exprimer ses sentiments, plutôt qu'à les garder pour lui.

3. Apprendre à se maîtriser

La maîtrise de soi est bien sûr une compétence essentielle en société. Mais comment l'acquérir ? Quels sont les outils à privilégier pour enseigner à son enfant à se maîtriser sans nier ses émotions ?
Et si vous les initiiez à la relaxation ? ou à la méditation de pleine conscience ? Ces techniques, qui sont très simples à acquérir, et à la portée de tous - avec plus ou moins de temps - apportent un bien-être certain : elles permettent de pacifier ses relations aux autres, de mieux gérer son stress, son anxiété, d'apprendre à lâcher prise quand il le faut.
Certaines techniques de respiration peuvent faire office de techniques d'urgence extrêmement efficaces également.
Enfin, pour ceux qui ont besoin de bouger, la pratique des arts martiaux peut être aussi un complément intéressant : ils permettent à la fois de " décharger " un trop plein d'énergie, tout en intégrant un cadre de respect mutuel et de respect des règles.

Ma source: paperblog.fr
 
 
 
 
 
 
 
 
 

miércoles, 21 de diciembre de 2016

LE RÉVEILLON DE NOËL




Le réveillon est un repas de fête pris au milieu de la nuit, à l'occasion de Noël ou du nouvel an.

Menus de réveillons

Le menu de Noël se compose souvent d'une succession de plats froids et chauds. Tout d'abord sont servies les entrées chaudes : escargots, bisque de homard, consommé, noix de St Jacques... Ensuite vient l'entrée froide : huîtres, foie gras, saumon fumé... Puis arrive la traditionnelle dinde aux marrons. Viennent ensuite le fromage et la fameuse bûche de Noël. Si ce type de menu rencontre la lassitude de convives en recherche d'originalité, pourquoi ne pas piocher dans les traditions régionales pour votre menu de Noël ?

Les menus des provinces françaises...

Les régions françaises mettaient autrefois à l'honneur le soir de Noël des plats typiques dont voici quelques exemples. Dans la région bordelaise, on dégustait à Noël des huîtres mais aussi des saucisses grillées. Dans la Drôme, le gratin de cardons à la moelle régalait les convives. En Franche-comté, les marrons chauds accompagnés de vin doux étaient servis lors du réveillon. En Lorraine, c'était le boudin noir et les gaufres qui étaient à l'honneur.
 
 
 
 
En Alsace on se régalait à Noël d'une oie rôtie accompagnée de choux, ou encore d'une carpe rôtie... Pour le dessert on confectionnait des "bredele", petits gâteaux en forme de sapin, de coeur ou d'étoile, mais aussi du pain d'épice.
En Provence la tradition voulait que l'on présente sur la table treize desserts à base de fruits, dont les "mendiants" (noisettes, noix, figues sèches, amandes, raisins secs) auxquels on pouvait ajouter le nougat, le melon, la pâte de coing, les dattes, la fougasse, le raisin blanc, les mandarines, les calissons... Ces desserts étaient pris au retour de la messe de minuit, avant laquelle on avait au préalable dégusté d'autre plats, salés : la muge aux olives, la poivrade de céleri, les escargots, la morue frite...
Dans le Nord, on préparait à Noël un pain brioché souvent agrémenté de raisins secs, appelé "coquille", que l'on dégustait accompagné de beurre salé et trempé dans du chocolat chaud. Sa forme rappelant celle d'un bébé emmailloté, on l'appelait aussi "pain de Jésus".
La France d'outre-mer a également ses spécialités de Noël : Jambon rôti à l'ananas, boudin antillais, punch à l'orange... Sans oublier, en dessert, le délicieux blanc-manger au lait de coco.
 
Le menu parisien
 
 
 
 
Quant au menu de Noël typiquement parisien, il était particulièrement luxueux puisqu'il piochait dans toutes les régions pour y prendre les meilleures spécialités de chacune d'entre elles ! C'est le choix du Parisien qui s'est finalement peu à peu imposé dans toute la France : dinde truffée, oie aux marrons, boudin blanc, huîtres...
Au niveau des desserts, la bûche de Noël fut assez longtemps concurrencée par le plum-pudding de Christmas importé d'Angleterre, que l'on apportait, toutes lumières éteintes, flambant au rhum. Mais la bûche de Noël au chocolat, réalisée avec un gâteau léger couvert de crème au beurre dans laquelle on dessine le décor de façon à figurer le bois, est depuis longtemps le dessert emblématique du réveillon de Noël.
Les recettes et plats traditionnels de Noël varient beaucoup à travers le monde, mais il est tout de même un point commun à beaucoup de repas exceptionnels : le champagne, dont on fait pétiller les bulles aux quatre coins du globe !




Le réveillon d'autrefois

Lorsque l'on parlait de réveillon autrefois, il s'agissait du repas de la nuit de Noël, que l'on prenait au retour de la messe de minuit, pour prolonger le plaisir d'être réunis en famille. Ce repas pouvait être froid et prendre la forme d'un pique-nique de luxe composé de différents mets apportés par chacun des convives. Le réveillon était réservé aux adultes ; en effet les enfants, ayant eu leurs cadeaux et leur repas de fête avant la messe de minuit, allaient se mettre au lit, si ce n'était déjà fait. De nos jours la messe de minuit est souvent célébrée beaucoup plus tôt, si bien que les traditions ont changé et qu'il devient plus aisé de faire participer les enfants au réveillon. Pour tous ceux qui ne vont pas à la messe, le réveillon se déroule à l'horaire souhaité et bien entendu avec les enfants.
 
Ma source: lemagfemmes.com 
 
 
 
 
 

LE CHOIX DE FAUSTINE



Noël arrive avec son cortège de dindes aux marrons, de foies gras, d'huîtres, de bûches et d'un long etc. Deux solutions: la diète ou s'adapter son jean en prévision. C'est le choix de Faustine. Quel est le vôtre?








VOCABULAIRE DE LA PEUR ET DES SENTIMENTS




La crainte : Peur à la pensée de ce qui peut arriver.
L'inquiétude : Agitation causée par la crainte, l'incertitude, l'appréhension.
L'anxiété : Grande inquiétude due à l'attente, à l'incertitude.
L'angoisse : Très grande inquiétude qui serre la gorge, créant un malaise   physique.
L'épouvante : Peur très violente qui fait perdre la tête.
La frayeur : Peur violente causée par le sentiment d'une menace toute proche.
La terreur : Peur extrême qui paralyse
La panique : Peur subite et violente qui entraîne un groupe à fuir en désordre.
Le désir : Envie très forte que ce qu'on souhaite se réalise.
L'émerveillement : Très grande admiration, éblouissement, enchantement.
L'envie : Souhait très vif de posséder un objet ou de faire quelque chose.
La perplexité : Embarras qui vient de ce qu'on ne sait pas quelle décision prendre.
La stupéfaction : Étonnement si profond qu'il empêche toute réaction.
La confusion : Gêne causée par une maladresse qu'on a commise ou par un excès de timidité.
Le regret : Sentiment pénible parce qu'un souhait ne s'est pas réalisé ou parce qu'on doit quitter ce qu'on aime.
Le remords : Malaise moral causé par la conscience d'avoir mal agi.
La honte : Sentiment très pénible qu'on éprouve quand on est mécontent de ce qu'on a fait ou quand on se sent inférieur.

La consternation : Accablement, tristesse profonde.
La satisfaction : Plaisir que l'on éprouve quand ce qu'on souhaitait arrive ou quand on obtient ce qu'on désirait.
Le soulagement : Sentiment d'être débarrassé d'une souffrance, d'un souci.
 
 
 
 
 

martes, 20 de diciembre de 2016

LA CARTE DE VOEUX




Si la tradition de donner des étrennes nous vient des Romains, celle d'envoyer des cartes de voeux à l'occasion du Nouvel An est beaucoup plus récente. Elle s'est développée en France au début du XIXe siècle. Avant cette date, l'usage voulait que l'on rende visite à ses proches en personne.
 
Histoire de la carte de voeux
 
La carte de voeux est née en Angleterre au XIXe siècle, avec l'apparition du premier timbre-poste (en 1840) et l'invention de la lithographie.
Si le timbre facilita l'envoi du courrier, c'est le procédé de lithographie qui popularisa les cartes voeux. Les premières cartes étaient des cartes de Noël envoyées pendant la période de l'Avent pour souhaiter un Joyeux Noël et présenter ses voeux pour la nouvelle année.

 À partir de l'Angleterre, la mode des cartes de Noël s'est répandue dans toute l'Europe. Or, il existait en France une coutume ancienne dont ne subsiste aujourd’hui que la tradition des étrennes : les visites du Nouvel An.

La coutume voulait que l'on rende visite à l'ensemble de son entourage (famille, amis, collègues et patron) dans les quinze jours qui suivaient le 1er janvier. À l'époque, il était courant de s'abstenir d'une visite en laissant, pour preuve de son passage, une carte de visite portant une formule de voeux.
Parallèlement, on échangeait des lettres au moment de la nouvelle année pour présenter ses voeux et renouer des amitiés ou donner des nouvelles à des connaissances éloignées.

La carte de voeux illustrée s'est progressivement imposée en France pour perpétuer ces deux coutumes. Dans les années 1930, elle remplaça définitivement l'usage de la carte de visite ou du papier à lettres. Elle offrait en effet un bon compromis entre le message bref de la carte de visite et la rédaction d'une longue lettre.
 
De la carte papier à la carte virtuelle
 
Avec l'avènement de l'informatique et des téléphones portables, il est devenu courant de présenter ses voeux par SMS ou par mail.

Vous avez désormais le choix au moment de présenter vos voeux pour la nouvelle année. Et si le courrier électronique ou le SMS vous semblent trop impersonnels, vous pouvez opter pour une carte virtuelle. D'une utilisation simple et pratique, elle a pour avantage d'être joliment illustrée et gratuite !

Mais que les inconditionnels de la carte papier se rassurent, les cartes de voeux sur papier glacé ne sont pas en voie de disparition. Plus durables et précieuses, les cartes écrites à la main ont encore du succès.

Pour rendre l'attention encore plus délicate, certains les fabriquent eux-mêmes avec des dessins, des collages et un texte personnel avant de les envoyer par la Poste avec un joli timbre. Le plaisir est alors partagé : celui de la réaliser pour l'expéditeur et de la recevoir pour le destinataire.
 
Écrire une carte de voeux
 
Pour sacrifier au rituel de la carte de voeux, il ne suffit pas de l'envoyer. Encore faut-il trouver une belle formule, si possible personnalisée, pour exprimer son affection ou se rappeler au souvenir de personnes que l'on ne voit pas souvent.

Certaines personnes en profitent pour donner des nouvelles, par le biais d'un petit texte accompagné de photos des enfants ou petits-enfants.
D'autres optent plutôt pour une citation à portée philosophique ou morale, à méditer pour commencer l'année avec un peu plus de sagesse ou d'espoir.
 
Ma source: gralon.net
 
 
 
 
Conchita