Bienvenus à cette nouvelle expérience!!!!!

Bonjour à tous et à toutes et bienvenus sur le blog du Département de français. C'est en septembre 2011 que l'on commence à démarrer et c'est avec un mélange d'appréhension et d'excitation qu'on s'y met.

Ce mode d'expression est en vogue sur internet, donc, nous allons en profiter.

Il n'y a pas que nous, Beatriz et Conchita qui allons écrire; à votre tour vous allez pouvoir y participer. Rassurez-vous!!!! On corrigera avant!!!!

Vous allez découvrir sur ce blog toute l'actualité, des conseils, des aides précieuses, etc.

Nous, on le crée mais il faut l'animer. On compte sur vous!!!!

miércoles, 7 de octubre de 2015

CHARLES BAUDELAIRE: LE POÈTE MAUDIT






Un marginal
 Fils d’un homme des Lumières très tôt disparut (son père avait 62 ans à sa naissance), il vécut son enfance en plein romantisme. Il eut une enfance malheureuse, entre sa mère qu’il adorait mais à laquelle il ne pardonna pas son remariage, et son beau-père, qui ne comprenait pas grand chose à ce jeune dont il devait assurer l’éducation. Destiné à ‘faire son droit’, il choisit la bohème du Quartier Latin. À vingt ans, alors que ses relations familiales deviennent difficiles, il s’embarque pour l’Orient. Il s’arrête plusieurs semaines à l’île Maurice et à la Réunion où il se remplit les yeux d’images et de couleurs somptueuses et découvre les pouvoirs de la sensualité. Il rentre en France en février 1842, après dix mois d’absence. Il reçoit alors l’héritage de son père mais son beau-père lui impose un conseil de tutelle, qui le prive de la jouissance de ses biens.


Une traversée de l’enfer
 Commence alors une existence difficile, marquée par un grand désespoir (tentative de suicide en 1845), de gêne matérielle – il devient critique d’art pour survivre -, de la maladie (la syphilis). Ces années 1845-1848 sont celles où il compose le plus grand nombre de pièces des Fleurs du Mal. C’est aussi à cette époque qu’il découvre Edgar Allan Poe, qu’il admire et qu’il traduira en partie. Il se lie avec Marie Daubrun et s’engage aux côtés des révolutionnaires de 1848. Mais les lendemains de la révolution l’écœurent, tout comme le révoltera le coup d’Etat du 2 décembre 1851.
Le poète maudit
Prodigieusement doué pour la souffrance et la solitude, il achève de se fragiliser en s’intéressant au vin et au haschich. Sa passion pour Jeanne continue bien que traversée d’autres amours. En 1857, il publie Les Fleurs du Mal, qui est aussitôt condamné pour ‘immoralité’ et voit son recueil amputé de poèmes jugés particulièrement scandaleux. En 1860, il publie Les Paradis Artificiels (célébration des drogues) et continue son œuvre de critique d’art lucide et hardi. Tandis qu’il travaille à une sorte d’autobiographie, Mon cœur mis à nu, et qu’il publie, en 1862, des poèmes en proses sous le titre du Spleen de Paris, il souffre de plus en plus de la syphilis. Après un séjour de deux ans en Belgique, il est frappé d’hémiplégie et meurt à Paris le 31 août 1867, à 46 ans.
 
 
 
 
 
 

 
 

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