Derniers jours de l'exposition Magritte. Des nocturnes jusqu'à 23H !!!
Le Centre Pompidou a consacré une exposition majeure à l’oeuvre de René Magritte. Son oeuvre emblématique la Trahison des images, laquelle souligne l'ambiguïté de la représentation dans l'art, est vraiment représentative de son travail surréaliste.
René Magritte, peintre belge (1898-1967), sculpteur, et artiste, découvre le cubisme et le futurisme, comme l'avant-garde artistique de Anvers, lorsqu'il s'installe définitivement à Bruxelles en 1918, après ses études à l'académie royale des Beaux-Arts.
Initialement d'une expression plutôt impressionniste, sa peinture évolue rapidement vers le purisme en s'approchant de celle de Fernand Léger.
René Magritte, que l'on peut considérer comme une figure majeure de l'art moderne, fréquente dans les années 1920 le milieu dada, avec Marcel Lecomte.
Il reste bouleversé en 1925-1926 en voyant une reproduction de Le Chant d'Amour (1914) de De Chirico, comme le furent également André Breton et Yves Tanguy, et remet en question sa conception de la peinture. Déçu de l'esthétique abstraite de ses premières toiles, il se lance dans une voie nouvelle.
Il devient un grand lecteur de poésie surréaliste. Un groupe se constitue à Bruxelles, avec notamment lui-même, Camille Goemans, Marcel Lecomte, Paul Nougé, puis des rencontres ont lieu à Paris avec André Breton, Salvador Dali, Paul Éluard et Max Ernst.
Magritte s'installe en 1927 au Perreux/Marne, en France, et fréquente le groupe surréaliste français.
Malgré une brouille avec Breton au début des années 1930, Le Viol fera la couverture de l'ouvrage Qu'est-ce que le surréalisme.
Initialement d'une expression plutôt impressionniste, sa peinture évolue rapidement vers le purisme en s'approchant de celle de Fernand Léger.
René Magritte, que l'on peut considérer comme une figure majeure de l'art moderne, fréquente dans les années 1920 le milieu dada, avec Marcel Lecomte.
Il reste bouleversé en 1925-1926 en voyant une reproduction de Le Chant d'Amour (1914) de De Chirico, comme le furent également André Breton et Yves Tanguy, et remet en question sa conception de la peinture. Déçu de l'esthétique abstraite de ses premières toiles, il se lance dans une voie nouvelle.
Il devient un grand lecteur de poésie surréaliste. Un groupe se constitue à Bruxelles, avec notamment lui-même, Camille Goemans, Marcel Lecomte, Paul Nougé, puis des rencontres ont lieu à Paris avec André Breton, Salvador Dali, Paul Éluard et Max Ernst.
Magritte s'installe en 1927 au Perreux/Marne, en France, et fréquente le groupe surréaliste français.
Malgré une brouille avec Breton au début des années 1930, Le Viol fera la couverture de l'ouvrage Qu'est-ce que le surréalisme.
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